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Best and Worst from the Internet.
  • Développement - le 17 Décembre 2014 par
    Back to Top et Font Awesome

    Aujourd'hui en navigant sur différents sites, j'ai fini par craquer.

    Moi aussi il me faut le Back to Top, célèbre bouton en bas de page des sites internet qui apparaît lorsque l'on scroll et qui vous remet de façon smooth en haut de la page.

    Je suis rapidement tombé sur un site qui mettait à disposition un script jQuery et je m'en suis inspiré pour l'intégrer à Gen3sis.

    Principe

    Le script est relativement simple. Tout tient en deux points.

    Recalage en haut de la page

    Il est permit grâce au à la fonction animate

    $("html, body").animate({scrollTop: 0}, "fast");
    

    Affichage du bouton à partir d'un certain seuil

    Ce qui rend le Back to Top plus agréable, c'est le fait qu'il n'apparaisse qu'au bout de 4 tours de mollettes. Pour cela, il suffit d'utiliser l'observateur d’événement scroll

    $(window).scroll(function(){
        ($(this).scrollTop() > 300) ? $back_to_top.addClass('visible') : $back_to_top.removeClass('visible');
    });
    

    Design

    Pour le design, on a besoin de 2 composants principalement:

    • le positionnement absolu pour que le bouton reste toujours dans le coin bas à droite.
    • l'icône en forme de flèche, pur laquelle j'ai utilisé une icone Font Awesome

    En utilisant la propriété CSS3 transition et en ajoutant un peu d'opacité et de d'ombré ça donne ça

    /** back-to-top **/
    #back_to_top {
        display: inline-block;
        height: 50px;
        width: 50px;
        position: fixed;
        bottom: 20px; 
        right: 20px;
        background-color: #4E4D4A;
        opacity: 0;
        visibility: hidden;
        border-radius: 35px;
        box-shadow: 0 0 5px rgba(0, 0, 0, 0.5);
        text-align: center;
        transition: all 0.3s ease;
    }
    
    #back_to_top.visible { opacity: 0.7; visibility: visible; }
    
    #back_to_top:hover { opacity: 1; }
    
    #back_to_top i { line-height: 45px; font-size: 30px; color: white; }
    
  • Réflexions - le 3 Septembre 2014 par
    Les robots ne craignent pas la mort

    Je réfléchis souvent à l'Intelligence Artificielle et surtout à la façon d'implémenter une IA à partir de règles simples, un peu à la manière du jeu de la vie.

    Mon constat est simple, la vie sur terre s'est développée à partir de cellules unitaires avec la mitose comme unique règle de reproduction.

    Foncièrement, une IA ne peut pas être compliquée. Elle se doit d'être évolutive en se basant sur qq principes.

    J'en arrive souvent au constat que la mort est un moyen nécessaire à l'évolution. C'est dur pur darwinisme: adapte toi ou crève.

    La mort supprime directement les mauvais choix. Quand on y pense, combien d'humains ont mangés de fruits ou d'animaux empoisonnés pour le bien de l'espèce humaine ?

    Finalement c'est peu être notre conception de l'individualisme qui rend toute IA impensable. Une IA ne serait peut être par le fruit d'une entité supra-intelligente, mais peut être plus le résultat d'une communauté de petites IA.

    Il n'en reste pas moins qu'un robot ne peut pas mourir. Ou du moins il n'en a pas conscience. A-t-on jamais vu un ordinateur supplier "non, ne m'éteins pas !"

    C'est regrettable, car lorsqu'un être vivant est confronté à un danger de mort, il déploie d'ingéniosité pour s'en sortir.

    Pire, les scorpions ou les guêpes (entre autres) ont toute une partie de leur anatomie prévue pour échapper à la mort.

    Les robots seront intelligents lorsqu'on leur aura appris à mourir.

  • Design - le 14 Août 2014 par
    L'affordance dans le webdesing

    L'affordance est la capacité d’un système ou d'un produit à suggérer sa propre utilisation.

    Au terme affordance, je préfère le néologisme feedforward de Stephan Wensveen , en opposition au feedback.

    On peut distinguer 2 types de feedforward:

    • le feedforward inhérent
    • le feedforward augmenté

    Feedforward inhérent

    C'est lorsque la forme d'un objet indique l'action qu'il peut effectuer. Par exemple, la forme d'une clenche de porte indique qu'on peut l'attraper et la tourner. On en déduit à priori qu'elle sert à ouvrir la porte.

    Cette notion renvoi au concept de zuhanden de Heidegger. Un marteau est compris pour sa fonction. En voyant un marteau, on pensera à le prendre par le manche et à l'utiliser pour enfoncer un clou. Notre perception de l'objet dépasse le bois et le métal qui composent le marteau : c'est sa fonctionnalité qui transparaît.

    Seulement voilà, aujourd’hui nous vivons dans l'ère du Digital. La forme d'un iPhone n'indique en rien qu'il permet de téléphoner.

    Feedforward augmenté

    C'est lorsque des informations ont été rajoutées contextuellement à l'objet pour donner une indication de sa fonction.

    Attention, ce n'est pas forcément une information digitale. Par exemple, un simple "on" sur un bouton indique qu'il sert à allumer l'appareil.

    Pour moi, un des exemples le plus réussi de feedforwad sont les bornes tactiles de la SNCF. Lorsque l'on va taper une destination, les lettres se grisent en fonction des possibilités de villes desservies. L'utilisateur reçoit comme feedforward qu'il ne sert à rien de taper cette lettre car elle n'apportera aucun résultat.

    Do, Feel, Know

    On peut s'interroger sur la véracité de ces propos. La première fois que l'on a vu un marteau, a-t-on vraiment pensé à enfoncer un clou ? La différence entre l'inné et l'acquis n'est pas toujours évidente.

    Je pense que notre approche du monde est beaucoup plus empirique. Notre courbe d'apprentissage suit le cycle

    • DO : les indications de feedforward vont nous permettre de présupposer de l'utilisation.
    • FEEL : lors de l'exécution de l'action, le feedback va nous conforter sur notre à priori.
    • KNOW : le résultat permettra de valider ou d'invalider notre hypothèse.

    Finalement, on peut juger un système selon 3 critères :

    • Intuitivité : à quel point notre connaissance actuelle va nous permettre de déterminer l'utilisation du système. Combien d'erreurs devra-t-on rencontrer avant d'obtenir le bon résultat ?
    • Efficacité : Est-ce que l'outil est réellement adapté et agréable à l'utilisation. Un marteau vous permettra d'ouvrir une boite de conserve, mais on conviendra qu'il est plus aisé d'utiliser un ouvre boîte.
    • Mémorisation : à quel point je ne reproduirai pas les même erreurs face à la même situation dans le futur ?

    Pour moi, le pinch de l'iPhone n'est pas intuitif. Néanmoins il est très plaisant à utiliser, très efficace et on retient le geste facilement. Il devient rapidement naturel.

    Pour finir, la disquette est toujours utilisée aujourd'hui comme convention pour l'enregistrement d'un fichier, même si cela est contre-intuitif. La génération Z qui n'aura pas connue la disquette aura bien du mal à comprendre le rapport entre un objet inconnu et le fait d'enregistrer. Pourtant ils l’utiliseront de façon naturelle.

  • SEO - le 10 Août 2014 par
    Conseil pour bloggeur débutant

    Comme je le disais précédemment, un blog doit être actif pour rencontrer du succès.

    Seulement voilà : comment trouver l'inspiration pour poster tous les jours ?

    Les lecteurs ne lisent pas, ils scannent

    Multipliez les articles courts. La consultation d'un blog reste un passe-temps, même quand il s'agit de veille. La concentration de votre lecteur ne sera donc pas optimale.

    Avoir des articles courts vous permettra de mieux capter l'attention de votre lecteur

    Si vous souhaitez faire un article long vous pouvez le séparer en plusieurs parties et ainsi poster plus souvent.

    Avantages pour le référencement

    Google pondère les mots de votre page en fonction du nombre de répétition. Un article centré sur un sujet précis aura plus de chance de ressortir qu'un article qui parle de plusieurs sujets simultanément.

    Sélectionnez avec soin le mot-clé sur lequel vous voulez vous positionner et construisez votre article à partir de là.

    À chaque nouveau post, vous aurez de nouveaux mots-clés dans le title et le h1 de la page. Encore une fois il est préférable d'avoir deux pages avec deux mots-clés qu’une seule contenant les deux.

    Par ailleurs, Google prend en compte la fréquence de mise à jour de votre site. Plus un site propose du nouveau contenu, plus il sera en avant dans les résultats de recherche.

  • Design - le 8 Août 2014 par
    Search, Browse, Feed

    Petit revue de l'évolution du web en terme de navigation et d'expérience utilisateur

    Google, le search

    Au début il n'y avait rien, puis google créa le web. En une recherche vous pouvez accéder à toutes les ressources du world wild web et ce, de façon pertinente.

    Mais l'utilisation de google reste une démarche active. Son utilisation demande beaucoup plus d'initiative que d'allumer la télé et se laisser porter par les flux d'informations continus.

    Youtube, le browse

    Youtube n'a pas inventé le browse, cela reste du lien hypertexte.

    Mais les études montrent que les liens sont des causes de stress pour les lecteurs qui perdent le fil de leur lecture et sont 'effrayés' que de lien en lien ils ne finissent jamais ce qu'ils ont commencé.

    Chez Youtube c'est différent. Cela tient à l'ergonomie de la page :

    • un contenu principal clairement identifié
    • une sidebar listant les vidéos associées.

    Pour ma part, ça a été ma première expérience de browse réussie au sein d'un même site. Je pense qu'il n'y a pas mieux pour améliorer le ratio pages/visites.

    Un conseil : BROWSE over SEARCH.

    La démarche de l'utilisateur est désormais interactive, dans le sens où elle est assistée. On a pas besoin de poser de question à Youtube pour qu'il vous présente d'autres vidéos.

    Facebook, le feed

    Si je devais faire un parallèle avec l'alimentation, Google ça serait la chasse, certes avec un uzi et un bazooka, mais quand même il faut aller chercher sa proie.

    Youtube c'est le supermarché. Tout est déjà en boite, ordonné par rayons, il n'y a plus qu'à faire son choix.

    Facebook, c'est un peu bébé à qui on donne la petite cuillère. D'ailleurs c'est eux qui ont imposé le terme feed.

    C'est eux également qui ont inventé la navigation en deux temps :

    • Étape 1, on se laisse guider pour 'suivre' des amis et des sujets, on configure ses goûts.
    • Étape 2, on consulte les news qui nous intéressent.

    Facebook c'est le premier site grand public qu'on ne peut pas utiliser tout de suite (j'exclu volontairement meetic).

    En revanche, passé la première étape, on se laisse porter par les flux de nos amis qui travaillent pour nous.

    Ça y est on peut enfin être complètement passif :)

  • Systèmes d'information - le 8 Août 2014 par
    L'ESB expliqué à mon PDG

    Le concept d'Enterprise Service Bus (ESB) est un des plus obscurs pour les non-initiés.

    Une application, OK, ça tout le monde c'est ce que c'est. Connecter deux applications ? Ça fait longtemps qu'on sait faire par traitement batch nocturne !

    C'est quoi l'intérêt de l'ESB alors ?

    Push vs Pull

    Pour moi, l'image qui illustre le mieux le concept d'ESB c'est la différence entre le mail et twitter.

    Avec le mail on était en mode push. L'information est poussée aux destinataires. C'est l'expéditeur qui va décider qui est intéressé par son message.

    A l'inverse avec twitter on est en mode pull. L'utilisateur diffuse un message, ceux qui sont susceptibles d'être intéressé s'abonnent aux messages.

    Un bus, c'est du twitter : l'application diffuse son message, les autres applications intéressées par ce message s'abonnent au flux.

    Orchestration

    Bien sur, ce serait trop réducteur de limiter l'ESB au mode pull. L'ESB est à voir comme un chef d'orchestre qui va mettre en musique les différentes applications.

    Il va par ailleurs être en mesure de réaliser certains mapping lorsqu'il est nécessaire de convertir un fichier csv en xml par exemple.

    Orienté Services

    Ce qui est intéressant c'est la philosophie d'architecture logiciel apporté par l'ESB.

    En 10 ans on est passé d'applications monolithiques à du Service Oriented Application (SOA).

    Les applications se sont spécialisées dans le traitement d'une donnée en particulier, dont elles sont le référent et communiquent via l'ESB pour récupérer les autres informations dont elles ont besoin. On évite ainsi les doubles saisies.

    Temps réel

    L'ESB a apporté également un élément fondamental dans l'amélioration du Système d'Information : le temps réel.

    Les applications communiquent des bouts d'information dès qu'elle est disponible plutôt que d'attendre le soir et de traiter une journée de travail. On améliore ainsi la réactivité des applications et donc des métiers de l'entreprise.

    Exemples

    A la Sogé, nous utilisions MS Bitztalk pour notre projet de dotNet.

    Dans le groupe AF/KL, c'est l'ESB de Tibco qui est en place.

    Talend, version opensource de l'ESB est très répandu également dans les entreprises.

    MQ Series, qui est utilisé à peu près partout peut être considéré comme l'ancêtre de l'ESB.

  • Développement - le 8 Août 2014 par
    Blog en mode responsive

    J'ai retravaillé le design de la page d'un post de blog pour qu'il soit responsive.

    L'article que j'ai lu sur les patterns de layout responsive m'a permit de clarifier comment on organise une page.

    L'important dans la conception c'est de savoir à quel moment un bloc flottant va stacker

    L'image montre le shéma de principe des différents écrans en fonction des devices

  • SEO - le 7 Août 2014 par
    La Règle d'Or du Bloggeur

    Des fois il est bon de revenir aux basiques. Si j'ai qu'un conseil à donner à tout bloggueur, ce serait finalement celui là :

    --- 1 POST PAR JOUR ---

    Aussi simple que ça et pourtant diablement compliqué. Cette règle peut s'adapter en fonction de votre besoin et du temps que vous avez à consacrer à votre blog. Vous n'êtes pas obligés de poster les WE, mais un minimum de 2 ou 3 posts par semaine est nécessaire pour entretenir sa communauté.

    Un blog c'est comme une télénovela, un feuilleton que votre lecteur va suivre au jour le jour. L'important ne sera alors plus le contenu, mais l'habitude que vous aurez réussi à créer auprès de vos visiteurs.

    Aujourd'hui si les séries TV ont un tel succès, c'est que l'on s'attache aux personnages et on finit par regarder la série uniquement pour connaître le développement des personnages, l'intrigue devenant à terme assez secondaire.

    Pour le blog c'est pareil !

    Un visiteur qui viendra pour la 3e fois avec un contenu inchangé ne reviendra plus par lui-même, il faudra alors redoubler d'effort pour le reconquérir.

    A l'inverse, si vous postez régulièrement, la consultation de votre blog deviendra un rituel quotiden, au même titre que les pause café. Vous aurez alors réussi à fidéliser vos lecteurs. On ne fait pas mieux comme Stickiness

  • SEO - le 6 Août 2014 par
    Virality, Stickiness, Non-Friction

    Virality

    La viralité c'est la capacité d'un site à se propager sur les réseaux sociaux. Pour ce faire, il faut faciliter le partage sur les principaux sites en incluant des share button.

    L'idéal est de pouvoir proposer soi-même des widgets embarquables sur des blogs, ce qui a le mérite supplémentaire de créer des sites référents et donc d'améliorer le PageRank.

    Bien évidemment, faciliter le partage ne suffit pas, il faut que votre contenu soit intéressant et qu'il donne envie d'être partagé.

    Stickiness

    La stickiness, c'est la capacité d'un site à faire revenir les utilisateurs.

    Outre un contenu de qualité, le meilleur moyen pour arriver à ses fins reste l'emailing.

    • soit via une newsletter,
    • soit via des notifications

    Les notifications possèdent un meilleur taux de conversion car ils sont plus ciblés, avec un contenu contextuel adapté à chacun de vos membres.

    Les flux RSS, même si ils sont en pertes de vitesse aujourd’hui, restent un moyen alternatif.

    Non-Friction

    La non-friction d'un site consiste à faciliter les actions d'un utilisateur dans la réalisation de son objectif.

    Il n'y a rien de pire que de vouloir s'inscrire sur un site et de ne pas trouver le formulaire d'inscription, ou que celui-ci soit trop complexe à renseigner.

    A ce niveau-là, il vaut mieux s'inspirer des maîtres : Less is more. Plus l'interface sera épurée, plus facile sera la navigation.

  • SEO - le 5 Août 2014 par
    3 indicateurs clés de Google Analytics

    Tout le monde ne parle que de trafic, d'affluence ou de visiteurs uniques.

    Pour autant il existe d'autres indicateurs dans les statistiques de Google Analytics qui méritent votre intérêt

    les nouveaux visiteurs

    Facteur très important qui vous donne le % de nouveaux venus, signe que vous gagnez en notoriété. Pour autant il faut relativiser ce chiffre et le comparer au trafic. Si vous avez trop de nouveaux visiteurs, cela veut aussi dire que vous n'arrivez pas à fidéliser vos visiteurs, surtout si le trafic est stable.

    L'idéal serait d'avoir une affluence en croissance et un taux de nouveaux visiteurs égal à cette croissance. Mais bon, on ne peut pas trop en demander non plus.

    le taux de rebond

    Le taux de rebond vous donne le nombre de personnes qui ont abandonné la navigation à la vue de votre première page. On peut considérer globalement que ces personnes ne sont pas intéressées par ce que vous avez à proposer. Un fort taux de rebond veut généralement dire que vous avez une mauvaise stratégie de mots-clés ou qu'au contraire, vous avez un très mauvais taux de conversion.

    Un taux de rebond inférieur à 50% peut être déjà considéré comme un bon score.

    le pages / session

    Le nombre de pages/session, tout comme la durée moyenne des sessions vous donne plus d'indication sur les visiteurs qui sont restés sur votre site. Si le nombre de pages par session est élevé, cela veut dire que les visiteurs ont appréciés votre contenu et que la navigation est aisée (pas de friction)

    En moyenne, sur un blog ou un site d'actualité, le nombre de pages/session tourne autour de 2. Avoir 6 pages/session commence à être un bon score.

  • SEO - le 4 Août 2014 par
    Stratégie de référencement - Introduction

    SEO - Introduction

    Les sites internet apparaissent dans les résultats de recherche Google en fonction de la pertinence de leurs contenus et de leur PageRank.

    Le PageRank est une note attribuée par Google en fonction du nombre de liens qui pointent vers votre site, mais également le PageRank du site qui a fait le lien.

    En d'autres termes, plus il y a de sites qui parlent de vous et plus ces sites sont connus, plus vous remonterez dans le classement. Quand on sait que la majorité des gens cliquent sur un des 3 premiers liens proposés par Google, on comprend vite l'intérêt de soigner son PageRank.

    On distingue donc deux axes de travail pour améliorer son référencement:

    • l’on-site, c'est à dire le contenu de votre site.
    • l’off-site, où comment faire parler de votre site à l'extérieur.

    L’on-site

    L’on-site consiste à optimiser l'utilisation des balises HTML afin de mettre en avant les mots-clés pour lesquels vous souhaitez être référencé. Voici une liste non-exhaustive des balises qu'il faut soigner:

    • title : cette balise cachée dans le header de la page sert à définir le titre de votre page. Elle est utilisée pour nommer votre onglet de navigation dans votre navigateur, mais elle sert également à l'affichage du résultat dans google.

    • description : la balise 'meta descritpion' sert à décrire brièvement le contenu de la base. Celle-ci est également affichée par google dans les résultats, mais également par Facebook en mode preview. Il vaut mieux être bref et concis, car très peu de caractères sont affichés.

    • header : h1, h2, h3, ... servent à structurer et organiser le contenu au sein de votre page. Cela correspond aux titres et sous-titres de votre texte. Bien évidement, le titre h1 a plus de poids dans les résultats de recherche que les titres h2.

    • images : il est important de spécifier la propriété 'alt' d'une image afin d'associer un contenu texte à celle-ci.

    De manière générale, plus vous allez référencer de mots-clés et moins ils auront de l'importance pour Google. Il est donc important de bien les choisir.

    L’off-site

    L’off-site consiste à maximiser le nombre de sites qui ont un lien vers le vôtre. Pour cela, les agences spécialisées en SEO vont vous proposer de créer des sites annexes aux contenus relatif à votre cible et de mettre des liens de ces 'sites vitrines' vers votre site. Cette technique a ses limites, car le poids des sites vitrines sera également très faible et n'améliorera que très peu votre référencement.

    La stratégie que nous avions déployée chez manolosanctis se déclinait en deux axes :

    • participer à des forums : recherchez des forums spécialisés dans votre domaine d'activité qui possèdent un bon PageRank et participez aux discussions. N'essayez pas de faire uniquement la promo de votre site, vous allez rapidement être banni du site. Au contraire, participez de façon naturelle, sans faire de promo. Il y a toujours la possibilité dans les forum de créer une signature dans laquelle vous pourrez mettre un lien vers votre site.

    • pousser à la viralité : favorisez le partage de contenu de votre site sur d'autres sites, les internautes qui ont apprécié votre contenu travaillerons pour vous ;)
  • SEO - le 4 Août 2014 par
    L'utilisation du nofollow

    En regardant les résultats d'analyse du WebmasterTool, je me suis aperçu que Google indexait 'login' comme un mot important de mon site.

    Il faut savoir que plus un mot apparaît sur les pages d'un site, plus il est considéré comme important. Or le lien login apparaît dans le menu de toutes mes pages. Il a donc été très fortement indexé.

    Sachant qu'en plus, le lien pointe vers un formulaire d’authentification qui n'a aucun intérêt pour Google, il était plus sûr de le déréférencer.

    Pour ce faire, rien de plus simple, il suffit d'ajouter l’attribut rel="nofollow" dans la balise de lien. Cela indique aux robots des moteurs de recherche qu'il ne faut pas suivre le lien.

    Exemple :

    <a href="http://www.mathieuweber.fr/track/login" rel="nofollow">login</a>
    

    Intérêt du nofollow

    Cette balise a un autre intérêt pour les forums. Si vous laissez la possibilité à des membres de saisir des urls, il faut vous assurer que celles-ci ne dégradent pas votre PageRank.

    En effet, si votre site pointe vers des sites aux contenus frauduleux, le Trust algorithm de Google va avoir tendance à considérer que votre site n'est pas un site de confiance. L'utilisation de la balise nofollow sur les liens saisis par vos utilisateurs sortira ces liens du calcul du PageRank.

  • Développement - le 2 Août 2014 par
    Speed as a feature: la déception du web mobile

    Je suis tombé par hasard sur cette étude qui m'a conforté sur une impression personnelle: le web mobile est lent.

    La navigation sur mobile dépasse souvent le seuil de frustration et j'abandonne fréquemment la consultation d'un site par manque de patiente.

    Le problème est qu'avec le développement de la 4G, les sites mobiles se sont lâchés. Les appareils mobiles aux résolutions hallucinantes permettent d'afficher des images HQ, et les différents sites se sont lancés dans une bataille effrénée au Rich User Interface avec de plus en plus de données à télécharger pour afficher une page et du javascript côté client de plus en plus lourd à faire tourner.

    Seulement voilà, comme la majorité de la population, je suis toujours en 3G. Et très sincèrement, même en étant sur le réseau n°1 de France, il m'arrive plus que souvent de passer en Hedge.

    Certes les nouveaux sites sont plus beaux, ça bouge de partout avec des animations très plaisantes, et à ce titre, Apple et l'iPhone ont fait beaucoup de biens au soin apporté à la conception graphique.

    Mais finalement, je me retrouve à rêver de mes bonnes vielles pages en HTML, simples, mais efficaces.

  • Design - le 29 Juillet 2014 par
    Typo 3x3

    Depuis que Maxime m'a parlé de cette typo, j'ai toujours eu une attirance pour celle -ci.

    Pour moi dans l'art, il n'y a pas de création sans contrainte. Et plus la contrainte est forte, plus le résultat est intéressant.

    Pour le coup, la typo 3x3 donne le niveau de complexité optimum:

    • la type 2x2 est impossible avec ses 16 possibilités pour 26 lettres
    • la typo 4x4 propose plus de 65 000 possibilités ...

    Et puis il faut avouer que le côté pixellisé lui donne un petit charme geek très appréciable ;)

    Le G me pose le plus de problème. Je ne suis pas super content du résultat.

    J'ai une petite affection pour le E, le M et le W. Pour ces lettres il n'existe pas de solution inscrite dans le carré qui soit très satisfaisante. En revanche, en prennant une approche outside the box et en inclinant le carré à 45°, on obtient une solution assez élégante.

    Si vous voulez voir la typo originale 3x3 c'est ici.

  • Systèmes d'information - le 14 Juillet 2014 par
    Fail Fast

    Si il y a une chose que j'ai apprise en tant que créateur d'entreprise et si il y a un conseil que je peux donner à toute personne voulant se lancer dans l’aventure, c'est bien cette doctrine : FAIL FAST

    L’échec de Manolosanctis, c’est de ne pas avoir su faire notre pivot vers l’autoédition assez tôt. Certes c’est plus facile à dire qu’à faire, et dans l’édition les temps sont très longs (1 an entre la signature d’un contrat et les premiers retours sur les ventes).

    Pour avoir eu la chance de discuter avec un des co-fondateurs de Criteo, LA startup Française du moment récemment introduise au NASDAQ, je peux vous confirmer qu’il en a été de même pour eux. Avec un business initial centré sur la recommandation de produits culturels, ils se sont rapidement aperçus que le marché de la publicité était plus porteur et qu’ils disposaient d’une technologie assez novatrice dans ce milieu qui leur permettait de lancer le concept de retargeting.

    Be the right man, in the right place, at the right moment. Les facteurs de succès sont trop aléatoires pour être prédictibles. Ce qu’on peut faire au mieux, c’est de se tenir prêt et de sauter sur l’occasion lorsqu’elle se présente. Bien sûr il faut savoir forcer son destin, provoquer sa chance, mais ce n’est pas toujours suffisant.

    Pour réussir, il faut avoir un time to market très court et une capacité à développer un prototype fonctionnel sans dépenser trop d’argent. Ce n’est que lorsqu’on a pu démontrer le proof of concept que l’on peut réellement investir pour passer au stade industriel et développer son entreprise. Ceci étant dit, ce discours a encore du mal à passer dans la culture française. Contrairement à la culture anglo-saxonne, l’échec est très mal perçu en France. Nous avons ce culte de l’excellence, avec des élites issues des meilleures écoles qui auront pensé dès le départ la meilleure solution. Mais nous avons du mal à reconnaître nos échecs. Fail Fast, ça veut assez dire ne pas s’entêter, couper net lorsque ce n’est pas viable. Combien de fois sommes-nous confrontés à l’évidence qu’une solution ne fonctionnera pas, mais où personne n’osera avouer l’échec ?

  • Systèmes d'information - le 30 Mai 2014 par
    KISS - Keep It Stupid Simple

    Une des Best-Practices qui revient le plus souvent sur nos projets en ce moment c'est "System is leading". C'est à dire que c'est au métier de s'adapter à l'outil et non l'inverse.

    C'est une Guideline doublement intéressante, à la fois pour le SI, mais également pour le métier.

    Système

    L'implementation d'un progiciel est souvent complexe lorsqu'il s'agit d'adapter son outil à son métier. Le développement custom est souvent cher et rend le produit très peu maintenable. À chaque nouvelle version du progiciel, il faudra refaire des tests de non régressions complets, voir redévelopper une partie des fonctions spécifiques.

    Sans compter que tordre l'outil pour faire rentrer le process au chausse pied cause généralement des problèmes de performance.

    Métier

    La mise en place d'une nouvelle application est souvent un moyen d'imposer une nouvelle façon de travailler. Ce change management par les outils peut être désastreux si le management n'est pas impliqué dans son implémentation.

    Néanmois la mise en place d'un progiciel peu être une bonne opportunité pour s'aligner sur les standards de l'industrie. C'est d'ailleurs là que réside le vrai avantage d'un progiciel. Ne pas s'éloigner de l'outil permet de bénéficier de process simples et efficaces. Les utilisateurs ont souvent tendance à complexifier inutilement les outils.

    Pour autant il est important de bien mener sa préétude et de bien s'assurer en amont que le progiciel sélectionné correspond bien aux besoins du métier. D'expérience, si il y a trop de customisation sur un progiciel, c'est que la phase amont a mal identifié le besoin.

  • Réflexions - le 28 Mai 2014 par
    • Et je fais comment une fois sur place ?
    • Tu sais parler Espagnol ?
    • Oui
    • Allemand ?
    • Oui
    • Italien ?
    • Oui
    • Alors tu prends ton couteau Suisse et ta clef Anglaise et t'arrivera toujours à te débrouiller.
  • Réflexions - le 28 Mai 2014 par
    • A: Ça y est.
    • B: Quoi ?
    • A: Je l'ai trouvée !
    • B: Quoi ?
    • A: LA SOLUTION !
    • B: À quoi ?
    • A: À tout ! Le monde, notre existence, comment vivre en société, l'économie de marché, la grand amour, la réalité... À force de chercher je l'ai trouvée !
    • B: Et alors ?
    • A: ... Elle n'existe pas.
    • B: Mais si elle existe, tu viens de le dire, tu l'a trouvée ! Tu veux pas me dire c'est ça ? Allez, j'attends.
    • A: ...
    • A: Je l'ai perdue.
    • B: Je ne te crois pas.
    • A: Je te l'assure. Elle était là et POUF ... perdue !
    • B: Mais elle doit bien être quelque part ?
    • A: Je sais pas... Je l'avais là, dans ma tête
    • B: Et ?
    • A: Ben au moment de l'exprimer avec des mots, elle est partie. Elle s'est envolée quand j'ai ouvert la bouche.
    • B: Vas-y, ferme vite les fenêtres !
    • A: Trop tard, elle a pu passer par la porte.

    (le temps passe)

    • B: Ça y est.
    • A: Quoi ?
    • B: Je l'ai trouvée !
    • A: Quoi ?
    • B: LA SOLUTION !
    • A: À quoi ?
    • B: À tout ! Le monde, notre existence, comment vivre en société, l'économie de marché, la grand amour, la réalité... À force de chercher je l'ai trouvée !
    • A: Et alors ?
    • B: RIEN.
    • A: ... c'est bien ce que je pensais.
    • B: Quoi ?!
    • A: C'est bien ce que je pensais !
    • B: Tu l'avais gardée pour toi depuis le début alors ?
    • A (honteux): Oui.
    • A: ... et tu te sens comment ?
    • B: Inchangé.
    • A: Pourtant tu as LA solution.
    • B: Oui, mais il y a un problème, il ne la connaissent pas, eux.
    • A: Qui ?
    • B: Les autres, ... ils ne la connaissent pas la solution, forcément ils vont faire des conneries !
    • B: J'ai beau faire ce que je veux, j'ai beau avoir tout compris, je ne pourrais RIEN changer
    • A: Ou si peu...
    • B: Alors on fait quoi ? Rien ?
    • A: Non c'est pas la solution.
    • B: Donc ?
    • A: Et si on allait boire un café ?
    • B: Ouai, bonne idée.
  • - le 27 Mai 2014 par

    La liberté et l'égalité sont deux concepts radicalement opposé.

    Le premier donne le droit à tout un chacun d'entreprendre comme bon lui semble, de manière purement égoïste.

    Le second prone un traitement équitable et tend à réduire les écarts entre personnes en les restreignant.

    On parle souvant de Liberté et d'Égalité en France. Mais je trouve que le vrai génie c'est d'avoir adjoint au tryptique la Fraternité qui permet d'apporter de la cohésion entre ces deux contradictions.

  • Systèmes d'information - le 20 Mai 2014 par
    Les 3 piliers de l'Innovation

    J’assiste actuellement à une conférence de Sabre Airline Solution à Vancouver

    Un des thèmes abordé est l'Innovation.

    Ce qui est intéressant, c'est que les intervenants sont tous unanimes sur le fait que l'innovation n'a rien à voir avec une invention. L'innovation c'est trouver un compromis entre les hommes, les process et la technologie.

    En d'autres termes, l'innovation est un processus qui permet de tirer le meilleur parti d'une technologie existante en l'intégrant dans une organisation.

    People

    Sans grosse surprise, le Change Management tient une part importante dans ce process. La citation suivante résume bien la situation:

    If you want something new, you have to stop doing something old

    -- Peter F. Drucker

    Souvent l'innovation est freinée par les résistances internes des équipes au changement. Innover c'est être capable de remettre en cause notre travail quotidien.

    Process

    Un des autres piliers de l'innovation est le process. Une solution informatique reste un Outil, aussi perfectionné soit-il. Un outil est la modélisation la moins imparfaite possible d'un processus métier. Mais l'outil est complètement inefficace s’il n'est pas utilisé correctement. Apporter de l'innovation à son entreprise c'est être capable de bien appréhender les process métier existant et de repérer où injecter de la technologie de façon pertinente.

    Technology

    Un des thèmes fondamental abordé est la connectivité. En particulier dans l'aérien ou il s'agir de coordonner des pilotes dans un cockpit, des clients à l'aéroport et les opérationnels qui sont au siège de l’entreprise.

    La connectivité c'est principalement deux choses:

    • La mobilité, à savoir le fait d'intégrer les nouvelles technologies telles que l'iPhone et les tablettes dans le parc applicatif de l'entreprise.
    • L'échange d'informations en temps réel, en particulier l'interconnexion des applications.

    Cela fait maintenant 9 ans que je défends le concept d'Ubiquitous Computing. La synchronisation de l'information est un processus clé qui prendra de plus en plus d'importance dans le futur. On le constate avec des applications comme Evernote ou Google Drive qui ne proposent pas de réelles nouvelles fonctionnalités, mais qui sont vraiment designées pour permettre la synchronisation.

    Lorsqu'on regarde les fonctionnalités proposées par Facebook, Google Now ou Foursquare, on constate que le concept d'Ubiquitous Computing a déjà été dépassé. Il ne s'agit plus uniquement de synchroniser les données, mais aussi de proposer des informations contextuelles à l'expérience utilisateur en prenant compte de la localisation de l'utilisateur, des intérêts de ses amis, de l'agenda de l'utilisateur, etc. Toutes ces fonctionnalités permettent de filtrer l'information pour la recentrer sur l'information la plus pertinente dans le contexte d'utilisation.

    Aujourd'hui le plus gros challenge d'un DSI est d'apporter la bonne information à la bonne personne, au bon moment. Toutes les informations sont aujourd'hui disponibles. Au contraire, nous sommes submergés par les informations. Il est donc primordial d'apporter une information pertinente, "prédigérée" et directement exploitable.

    La DSI se doit de tirer parti de ces fonctionnalités pour développer les applications métier de demain.

  • Make it Work, Make it Right, Make it Fast

    Nous menons actuellement une étude pour améliorer notre application principale. Aujourd'hui l'outil n'est pas jugé satisfaisant par les utilisateurs et pourtant ils se déclarent satisfait de la couverture fonctionnelle. Les discussions ont souvent tendance à tourner autour des fonctionnalités de l'outil, mais ce n'est pas un critère suffisant pour juger de sa qualité.

    Pour cela, nous avons découpé le projets en 3 axes:

    • fonctionnalités
    • qualité
    • performance

    Pour chacun de ces axes, nous avons déterminé des KPI qui nous permettrons de suivre les améliorations attendues.

    Fonctionnalités

    Nous allons rédiger des spécifications pour les fonctionnalités clés qui sont aujourd'hui manquantes. L'indicateur de suivi est ici assez simple car il suffit de faire le ratio nbre d'item développés/nbre d'item total.

    Qualité

    La qualité du logiciel peut se mesurer au nombre de bugs reportés par les utilisateurs. Les bugs sont catégorisés en 3 niveaux de SLA:

    • SLA 1: Bug bloquant, à corriger "à chaud" au plus vite. Délai de résolution sous 4h.
    • SLA 2: Bug sévère, mais non bloquant. A corriger sous une semaine suivant un process d'Emergency Release
    • SLA 3: Bug mineur non bloquant. Ajouté à la liste des bugs et corrigé lors d'un release standard.

    L'indicateur ici est le nombre de bug SLA 1 et SLA 2 par mois.

    Performance

    En plus des tests de non régression, nous allons déterminer des scénarii type couvrant les fonctionnalités clés de l'outil. A chaque scénario nous allons attribuer un délai maximum de réalisation au dessus duquel l'application sera jugée non conforme. L'idéal est de jouer 5 fois le scénario, d'enlever la valeur la plus haute et la plus basse et de faire une moyenne sur les 3 médianes.

  • Réflexions - le 22 Avril 2014 par
    Japon, le culte de l'uniforme

    Une chose marquant au Japon est le culte de l'uniforme. Les salaryman sont tous aux normes standard costume noir chemise blanche. Tout petit déjà on leur apprend à porter l'uniforme à l'école, pas étonnant qu'ils se conforment aussi facilement par la suite à un habit unique. Mais cette culture ne touche pas que les cadres sup. Les ouvriers portent tous fièrement leur uniforme de chantier et leur casques de protection, les chauffeurs de bus portent également le costume et la casquette, ce qui leur donne un look de chauffeur de limousine assez agréable. Finalement je comprends mieux comment les japonais en sont arrivés à Bioman et leurs combinaisons fluos. Il y a également une plus grande proportion de boys/girl band au Japon. Plus qu'un genre musical, je pense que cela traduit vraiment un culte de la personnalité moins prononcé qu'en Europe. Cela se traduit également dans l'architecture. Il y a très peu de "personalité" dans les temples et les palais. On construisait au 19e siècle avec le même style qu'au 13e siècle. Les statues sont très uniformes également. Il y a bien sur quelques peintres ou architectes connus. Mais pas autant de différence dans le style qu'entre de Vinci et Botticelli qui sont pourtant tous deux des peintres italiens de la renaissance.

  • Design - le 31 Mars 2014 par
    e-Paper

    Sony a annoncé le premier e-Paper (plus d'infos sur PC Inpact). Modèle e-Ink avec un stylet. Très proche d'un eBook donc d'un point de vue techno, mais on voit bien avec l'iPhone et l'iPad que la taille du device suffit à elle seule à introduire de nouveau usages.

    Je suis vraiment fan du e-Ink. Techniquement, une impulsion électrique va modifier la structure de la matière pour laisser passer la luminère (pixel blanc) ou non (pixel noir). La modification de la matière s'effectue uniquement au changement de pages. L'e-Ink ne consomme donc pas d'électricité à l'affichage est permet donc

    • une consommation relativement peu gourmande et une plus grande autonomie de l'appareil.
    • un affichage non-rétroéclairé et donc un confort de lecture plus proche du papier.

    Quand on sait que la lecture sur appareil numérique diminue de 25% la concentration, je pense que l'e-Paper a un réel avenir devant lui.